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  • : Les Verts d' Aubervilliers
  • : Le Blog de Jean-François Monino, élu Maire Adjoint d'Aubervilliers, est là pour vous informer de son action dans les domaines aussi variés que l:'environnement, les transports, la sécurité, la prévention, la gestion des déchets et les relations internationnales
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  • Jean-François Monino
  • Maire adjoint à la Ville d'Aubervilliers aux travaux,à la Voirie.
Vice Président à Plaine Commune
Président de l'association Aubervilliers Environnement - Aubervilliers Ecologie.
  • Maire adjoint à la Ville d'Aubervilliers aux travaux,à la Voirie. Vice Président à Plaine Commune Président de l'association Aubervilliers Environnement - Aubervilliers Ecologie.

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24 août 2010 2 24 /08 /août /2010 15:19

Après la Russie, c’est maintenant en Tanzanie qu’un projet de construction d’autoroute fait polémique. Ici, il n’est pas question de déforestation. Le tracé du projet d’autoroute soutenu par le président tanzanien, Jakaya Kikwet,  doit traverser le parc du Serengeti. Le problème, ce parc national figure bien sur la liste  du patrimoine mondiale de l’Unesco. Le vaste chantier risque de mettre en péril la migration de troupeaux de gnous, gazelles et zèbres ; ce qui suscite la colère des associations écologistes.

 

Une autoroute en plein parc national

 

Aussi incroyable que cela puisse paraître, le gouvernement tanzanien a pour ambition de construire une autoroute qui traverserait le parc du Serengeti. Alors même que ce parc national est inscrit sur la liste du patrimoine mondial de l’Unesco. Selon des associations écologistes, le projet soutenu par le président tanzanien, Jakaya Kikwet, menacerait la migration de troupeaux de gnous, gazelles et zèbres. Le chantier d’une longueur de 480km traverserait le parc national sur 50 km.

 

 Les opposants cherchent une autre solution

 

Pour éviter le risque d’une dégradation sur la biodiversité et les migrations des troupeaux de mammifères dans le parc, des associations écologistes tentent de trouver une autre solution en proposant tout simplement un nouveau tracé. Si une telle construction voyait le jour avec les plans actuels, les troupeaux ne pourraient pas rejoindre leur seul point d’eau situé à la rivière Masai Mara au Kenya (réserve frontalière). Une situation qui menace directement l’écosystème tanzanien notamment par la diminution conséquente de ces animaux.

 

Durable.com

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